Près des vitres de la forêt

Quand on s'avançait au plus profond de la forêt, là où personne n'allait jamais, et si l'on savait où aller, on pouvait trouver le seul endoit qui avait échapper au dépérissement de la cité.

C'était une clairière inondée de soleil, au tapis de mousse verte, entourée d'arbres et de buissons vert, et au milieu coulait une rivière claire. On ne savait d'où elle venait, ni où elle repartait. Ici, le temps était normal, il y parfois de la pluie, même de la neige... Mais ce lieu si magnifique, trsè peu de gens le connaissait. Inwë s'y était retrouvée par hasart, un jour qu'elle jouait avec son chien, et depuis, elle y retournait dès qu'elle le pouvait, cet endroit lui faisant penser au dehors, et ancrant encore plus profondément en elle le désir de partir...

Admin Nombre de messages : 113 Date d'inscription : 27/11/2005

Lirza court dans la forêt. C'est devenu son refuge. Sur sa joue, on peut appercevoir une trace rouge en forme de main. Ca lui brûle, et elle sert les dents pour ne pas pleurer. Elle pense au soleil, à l'herbe vert et aux rivières qu'elle n'a jamais connue. Comme elle aurait aimé pouvoir vivre à l'extérieur de la cité ville, là où il y a la lumière du jour, la vraie. Elle essuie ses yeux embués de larmes et continue de courir. Elle ne sait même plus pourquoi il y a cette trace sur sa joue. Peut-être est-ce parce qu'elle est rentrée dans la maison alors qu'elle avait les mains sales après avoir planté des fruits. Ou alors, peut-être que c'est parce qu'elle n'a pas vendu assez de livre aujourd'hui. Ou parce qu'elle n'avait pas chauffée l'eau assez vite pour cuire les légume pour la soupe du soir. Mais cela n'avait aucune importance maintenant. Cela n'en avait jamais vraiment eu. elle était tellement habituée... La lumière déclina petit à petit. Lirza n'était jamais allée aussi loin dans la forêt. Puis, alors qu'elle allait rentrer, elle déboucha sur une clairière innondé de soleil, où l'herbe était verte et où les oiseaux chantaient. Elle crut d'abord à un mirage, surtout que le soleil se couchait derrière la cité ville, et qu'elle pouvait quand même sentir sa chaleur, comme s'il n'y avait pas de barrière entre l'extérieur et la cité-ville. Mais elle savait qu'il y en avait.

» Les murs de vitres